Réussir sa candidature pour les meilleures universités
Webinaire en compagnie de St Andrews (Ecosse)
Que faut-il réunir pour constituer un dossier en or et quelles sont les attentes des universités les plus sélectives ? Nous vous ferons part de nos conseils et de nos retours d’expérience. Surtout, nous vous proposons de voyager le temps d’un webinaire, en partant à la découverte de l’université St Andrews. Cette référence du système éducatif britannique accepte moins de 8% des candidatures reçues chaque année… Comment pouvez-vous faire la différence ?
Un accompagnement sur-mesure avec Study Experience
Pour réussir un projet de ce type, un accompagnement spécialisé augmentera vos chances de façon significative. Le fait que la plupart des étudiants étrangers retenus par ces établissements sont issus de lycées internationaux ou privés n’est pas vraiment une surprise, car ces étudiants bénéficient justement d’un suivi personnalisé dédié. En occurrence, c’est l’accès à cette prestation de conseil que nous souhaitons ouvrir à un plus grand nombre. Depuis 2009, plusieurs milliers d’étudiants ont été accompagnés par Study Experience, dont une forte proportion a rejoint un établissement du Top 50 mondial. Nos conseillers sont des références dans le secteur et seront des alliés de choix pour vous aider à mettre sur pied votre projet !
Comment faire la différence auprès des universités les plus sélectives ?
Les universités les plus sélectives reçoivent énormément de demandes et disposent d’un nombre de places très restreint. Pour cette raison, la compétition est farouche et il vous faudra une bonne dose de chance pour espérer décrocher une place. Néanmoins, en anticipant, vous pouvez préparer certaines choses afin de constituer un dossier optimisé, qui augmentera vos chances d’admission. Nous vous proposons un éclairage sur quatre points essentiels !
1. L’importance du dossier académique
Sans grande surprise, les universités les plus sélectives sont très exigeantes dans leur étude des dossiers scolaires. Il vous faut de bonnes notes, c’est un fait. Ces bonnes notes, à elles seules, ne suffiront pas, mais disons que c’est la base pour pouvoir mettre le pied dans la porte du bureau des admissions. Nous notons trois tendances par rapport aux types de performances attendues :
- Il est important d’avoir de bonnes notes partout. Un dossier équilibré est essentiel pour montrer que vous êtes rigoureux dans votre apprentissage et curieux. Ainsi, même si vous vous destinez à des études scientifiques, des contre performances dans les matières littéraires pourraient vous être reprochées. L’inverse est vrai aussi.
- Dans votre choix d’options et de spécialité, mieux vaut choisir ses matières en fonction de ce que vous souhaitez étudier. Un dossier en cohérence avec le projet d’études est essentiel.
- Certaines universités vont encore plus loin et attendent de la part des étudiants qu’ils aient de bonnes notes, tout en optant pour les matières les plus exigeantes. L’idée de vous mettre en difficulté et de vous dépasser au quotidien est quelque chose d’appréciée certaines grandes universités.
2. Les tests d’admission
Toutes les universités anglophones, sans exception, vous demanderont de passer un test d’anglais pour démontrer votre capacité à pouvoir suivre un programme en anglais. Même avec le meilleur dossier du monde, si vous n’avez pas le niveau d’anglais, votre projet ne pourra pas aboutir. Se préparer tôt aux tests d’anglais est donc une manière d’assurer ce volet de l’admission.
Certaines universités peuvent également vous demander de passer un test d’admission. Nous parlons alors d’un examen comparable à un concours d’entrée aux grandes écoles, par exemple. Selon les pays, les universités et les programmes, les tests d’admission varient (SAT pour les USA, UCAT/BMAT pour médecine au Royaume-Uni, GMAT pour les Masters en commerce…). Souvent, les universités se servent de ces tests comme premier filtre, car il serait impossible d’évaluer tous les dossiers qui leur parviennent. Bien performer à ces tests vous permettra de passer le 1er tour, pour ainsi dire. Là aussi, vous avez beau avoir de superbes notes et une lettre de motivation en béton, si votre score au test d’admission est insuffisant, les universités n’iront pas plus loin.
3. Le suprascolaire
Une activité “suprascolaire” donc (ou super-curricular activity) est quelque chose que vous faites en dehors de votre travail scolaire normal, mais qui est toujours en rapport avec vos intérêts académiques. Par exemple, si vous vous intéressez à l’histoire, vous pourriez lire un livre sur la révolution française après l’école ; si vous voulez faire des études de biologie, vous pourriez écouter un podcast chaque semaine, qui traite de l’actualité scientifique.
Une activité “suprascolaire” est similaire à une activité extrascolaire, comme la pratique d’un sport ou du bénévolat, car vous le faites sur votre temps libre. Mais le “suprascolaire” est axée sur l’apprentissage académique et vise à élargir vos connaissances sur un sujet particulier.
Les meilleures universités recherchent des candidats qui démontrent un réel intérêt pour leur matière, qui témoignent d’une vraie motivation personnelle et qui font preuve d’analyse critique. En recherchant des activités pendant votre temps libre et en intégrant des exemples précis à votre candidature, vous pouvez prouver aux universités ciblées que vous cochez bien toutes ces cases.
4. L’importance du timing
Pour vous préparer dans de bonnes conditions et pour avoir le temps d’accomplir toutes les étapes ci-dessus, il est donc important de commencer tôt vos démarches. Pour les universités les plus sélectives, nous vous conseillons de démarrer le projet environ 2 ans avant la rentrée visée. Gardez aussi en tête le fait que certaines dates limites arrivent très tôt, parfois dès le début de l’année académique qui précède la rentrée visée.